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DOI: http://dx.doi.org/10.7451/CBE.2014.56.6.1
Description:

Quantifying the impact of odour from livestock facilities has been a challenge to researchers and environmental regulators. Physical and sensory odour attributes are commonly used to define the odour impact. However, people’s responses (tolerances) to odour may be affected by many other nonphysical factors. The objective of this study was to determine odour impact in broader scopes and domains by considering such factors as quality of life and community values. Face-to-face survey interviews were conducted in five communities to assess the residents’ responses to odour from hog operations. Based on the interview data, odour annoyance to residents was quantified and their tolerance to odour was determined. It was found that the annoyance at hog odour was greater than at other odour sources. Some residents (13%) would not tolerate hog odour even if they indicated that they were not annoyed by odour. On the opposite side, about 13% of residents would tolerate hog odour even if they indicated the highest annoyance level (10). Residents living in the rural areas were more tolerant of hog odour if the odour sources (hog operations) had previously been in existence. Very few (

Keywords: hog, odour, community survey, annoyance, tolerance.
Résumé:

Quantifier l’impact des odeurs provenant des élevages constitue un véritable défi pour les chercheurs et les organismes de réglementation environnementale. Des caractéristiques physiques ou sensorielles sont généralement utilisées pour déterminer l’impact des odeurs. Toutefois, la réaction (tolérance) des gens aux odeurs peut dépendre de plusieurs autres facteurs qui sont non physiques. L’objectif de cette étude était de déterminer l’impact des odeurs de manière large en considérant différents facteurs telles la qualité de vie et les valeurs locales. Un sondage, fait lors d’entrevues personnalisées, a été réalisé dans cinq villages pour évaluer la réaction des résidents aux odeurs provenant de porcheries. À l’aide des données recueillies, les désagréments liés aux odeurs ont été quantifiés et la tolérance des résidents à celles-ci a été déterminée. D’après les résultats, les désagréments liés aux odeurs porcines seraient plus élevés que ceux liés à n’importe quelle autre source d’odeurs. Quelques résidents (13%) ne toléreraient pas les odeurs porcines même s’ils avaient répondu qu’ils ne seraient pas indisposés par des odeurs. À l’inverse, environ 13% des résidents toléreraient des odeurs porcines même s’ils avaient répondu que celles-ci avaient le niveau de désagrément le plus élevé (10). Les résidents des milieux ruraux étaient plus tolérants aux odeurs porcines si les sources d’odeurs (porcheries) étaient déjà présentes. Très peu de résidents (

Mots-clés:

porcs, odeur, sondage communautaire, désagrément, tolérance

Citation: La, A., Q. Zhang and Z. Gao. 2014. Determining tolerance to odour annoyance in communities near hog operations. Canadian Biosystems Engineering 56: 6.1-6.11.
Volume: 56
Issue: 1
Pages 6.1 - 6.11
Contributor: R. Sri Ranjan
Date: January 26, 2015
Technical field: Waste management Engineering
Conference name:
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Other information:
Type: Text.Article
Format: PDF
Publication type: Journal
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Coverage:
Language 1: en
Language 2: fr
Rights: Canadian Society for Bioengineering / Société Canadienne de Génie Agroalimentaire et de Bioingénierie
Notes:
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